La pluie tombait depuis plusieurs heures. A cause d’elle je n’arrivais pas à fermer l’œil, j’avais l’impression d’entendre chaque goutte d’eau qui tombe sur l’herbe et les feuilles. Enerver, je me suis lever et je suis partie chercher quelque chose à manger. Je trouvais quelques herbes un peu rêches en bouches. Voilà de quoi m’énerver encore plus. Je ruminer ma mauvaise humeur et continuer de vagabonder entre les grands arbres du petit bois dans lequel je me trouvais. Je déteste la pluie, surtout celle en hiver. Elle est froide, ce qui te frigorifie. En plus l’odeur de la pluie sur mon poil je déteste ça.

Après avoir pesté longtemps sur le mauvais temps je ne fis pas attention là je mettais les pattes. Je me pris alors les sabots dans une racine d’arbre qui dépasser de la terre, cacher par des feuilles mortes. Je perdis l’équilibre et tombais la tête la première dans un buisson avec quelques galipettes. Je venais de produire un bouquant de tonnerre. C’est malin, l’écho se répercutait dans le vallon se trouver à quelque pas de la végétation. Je ne bougeais pas et écoutais. Aucun bruit, seul celui de l’eau qui tombe et le bruit sourd d’une chute d’eau non loin d’ici.

Je me relevais brusquement, la tête la première, hors de ce buisson qui me piquer la croupe avec ses petites branches pointues. Je me stoppais net car je me retrouvais nez à nez avec une biche. Je ne l’avais pas entendue approcher. Elle porter un pelage brun, assez basique et typique des cerfs. J’ouvris de grands yeux étonné puis braquais mes sourcils rapidement vers le bas, montrant ma mauvaise humeur.

-Quoi t’as jamais vu de biche dans un buisson ?

Je lui avais lançais les mots à la figure avec mécontentement et dédain. Je m’extirpais du buisson et m’ébrouer pour enlever les petites feuilles encore accrocher à mon poil. Je regardais si je ne m’étais pas entailler en me coupant avec les piquants du buisson. Non, tout va bien. Je me tournais vers la biche que j’étais toujours pas partie. Elle compte me coller toute la journée ? Je lançais du tac au tac, sans réfléchir, quelque chose sans intérêt, pour la faire bouger, ou ne serais-ce que parler.

-T’as perdu ta langue ?