C'est un beau matin. Cependant quand la mère se promène avec ses faons sur ces terres-ci, le ciel est encore rosé et le soleil pas entièrement levé. Les deux petits faons marchent lentement, trainant de la patte en avant de leurs mère, fatigués. Celle-ci les poussa doucement du museau, les entraînant ainsi en avant d'elle. Les deux faons se mettent alors à accélérer le pas. Le temps est humide et frais. Le soleil rayonne maintenant, de milles feux. Un petit sourire léger vint se dessiner sur les babines de notre belle biche blanche. Des gouttelettes de pluie tombaient encore des feuilles des arbres. La biche secoua sa tête pour les faire disparaitre. Les faons, eux, n'en firent rien, trop fatigués pour penser. Un petit bâillement faible se laisse échapper de la gorge des deux faons.

Une brise légère vint chatouiller les narines de la petite famille et les deux faons éternuent, en même temps. La petite Alyss demande alors: - Maman.... on vas où ? On arrivent quand ? Tout deux fatigué la biche peut comprendre. Elle els rassurent en leurs léchant le dessus de la tête puis répond : - On se promène c'est tout. D'accord ? On arrivera quand on arrivera et vous allez pouvoir vous reposez.

Comme maintenant activés par l'adrénaline les deux faons se mirent a marcher seuls de plus en plus vite. Mais la biche s'arrête net aux aguets. Une odeur. Une odeur ennemi lui effleure les narines. Elle fronce les sourcils et rappelle vite ses faons. Puis elle vit un cerf. Elle cache ses petits derrière elle et s'avance lentement, calme. - Ronno... Dit-elle dans un souffle. Ronno est connu de tous comme Bambi, mais comme tyran.

- Que faites-vous ici, hors de vos terres .. Ronno ?

Il se leva en attendant son nom pour ensuite regarder autour de lui, ha les terres à Bambi. S'il fallait qu'il le croise ici ça serrait certainement son tout dernier jour. Il aperçut soudainement une biche avec ses deux faons, il fixa ceux-ci avant de regarder d'un regard bien droit et noir la biche blanche. Il se demandait pour quoi quelle ne se mailait pas de ses affaires, il donna un coup de sabot au sol. De quel droit avait-elle de me parler comme cela cette nomade, la pire harde de minables. Elle a bien intérêt a ne plus dires des choses comme cela. Ronno s'avait très bien que cette rencontre n'allait à nouveau pas être bonne. Mais bon de toute façon, il tombait toujours sur des rencontres semblables à cela. Surtout après que ce cher Bambi lui a volé Féline. Il s'approcha pour enfin tourner autour de celle-ci tout en baissant sa tête pour lui montrer ses bois. Il émit un son de mécontentement ses Nomade eux avaient le droit d'aller où qu'ils voulaient, ils n'étaient pas capables de se trouver un clan. Il sourit à ses pensées et il rit d'un ton moqueur soudainement, elle était bien seule devant lui avec ses petits.



Il sourit à ses pensées et il rit d'un ton moqueur soudainement, elle était bien seule devant lui avec ses petits. Il soupira selon lui celle-ci se promenait toujours de territoire en territoire. Mais qu'il ne la voit jamais sur son territoire ou qu'il soit au courant de son passage. Parce que cela allait vraiment mal aller parce que c'était lui le chef du marais et il pouvait très bien ordonner de la tuée. Tout d'un coup, une prise venait faire voler ses poils, il regarda ensuite ce ciel rosé. Il avait hâte de devenir prince de la forêt comme cela, il pouvait contrôler celui-ci. Mais bon en ce moment, il devait en quelque sorte être contrôlé par ce cher Bambi. Mais celui-ci aimait très bien le faire souffrir que se sot de l'intimider ou autres. En fait exactement ce qu'il lui a fait durant la bataille dans le passé. Tout d'un coup, il aperçut un petit lac alors il alla boire, mais tout en surveillant celle-ci du coin de l'œil. Dans son champ de vision, il vit soudainement une tortue. Alors il fila apeurer derrière un arbre et baissa ses oreilles a ses tortues il n'avait pas fini. Il se ressaisit après quelques minutes. Pour ensuite foncer vers celle -ci mais il coupa dans le vide pour ne pas lui foncer dessus. Il s'avait très bien déjà qu'il avait le dessus sur celle-ci parce qu'il était le chef et tout le monde devait obéir à un chef.


- Je suis venue ici pour me reposer seul ! Mais vue que vous êtes là minable nomade qui ne prend pas la force d'aller vivre dans une harde ! Je suis venue sur les terres de ce cher Bambi que je veux bien sa mort ' il avait dit cela d'un ton bas.' Parce que c'est proche de mon territoire et s'il y a un danger, je pourrai facilement l'attendre. Le reste pour quoi que je suis ici ce n'est pas de vos affaires !-



Il marcha fièrement devant cette nomade et regarda droit devant lui pour enfin guetter ses moindres mouvements. Il s'avait très bien déjà qu'il avait le dessus sur celle-ci parce qu'il était le chef et tout le monde devait obéir à un chef. Il soupira et pense à nouveau à son passé, mais il cachait tout les restes parce qu'il pouvait très bien se refouler sur la biche . Il se demanda ce que cette petite biche blanche allait lui dire. Mais il trouvait cette réponse très longue alors il ne tarda pas à le montrer en frappant un arbre avec ses bois. Il brouta enfin quelque brin d'herbe, il se demanda comment allait-elle réagir à ses paroles. Parce qu''il l'avait dit d'un ton vraiment ferme et d'un seul coup pour être sur d'être très bien compris. Même s'il n'avait pas reçu une bonne éducation, il s'avait vivre mais cela se voyait au jour d'huis dans ses manières. Parce qu'il était tout le contraire d'un bon chef comme se Bambi c'était de sa faute aussi a ce cerf. Parce qu'il te l'avait volé cette belle féline. Ronno ne lui pardonnerait jamais il le s'avait très bien il ne fallait pas qu'un cerf parlerait de cela. Parce que c'était sûr que celui-ci allait recevoir un bon coup de sa part et il risquerait de s'en souvenir.

La jeune biche ne put que retenir un grand sourire. Elle se retient également de rire. Mais n'en fit rien. Elle se méfie quand même et garde ses deux petits près d'elle. Elle regarde le grand cerf faisant peut-être deux têtes de plus qu'elle. Mais elle s'en fichait. Elle connait se tyran et ce qu'il a fait. Mais rien de plus. Jamais elle avait put imaginer croiser sa route, un jour. Mais voilà qu'elle se retrouve devant le grand tyran, qui a essayé de piquer la femelle de Bambi, Féline. Lyra reste néanmoins très calme. Elle pousse ses deux faons en arrière d'elle. Alyss et Dokha regarde tout deux le grand cerfs avec des gros yeux ronds, et curieux. La jeune mère fixait le grand cerf, de ses grands yeux bleus azurs. Puis elle regarde calmement le cerf s'impatienter en frappant un arbre de ses bois. Ensuite il broute quelques brins d'herbes. La biche blanche ne put s'empêcher également de soulever un sourcil. La belle Lyra attendit qu'il reporte son attention vers elle pour lui répondre. Mais il passa un moment à brouter, comme si de rien n'était, comme si la biche n'existait pas. Elle réprimende un léger grondement pour ravoir son attention, afin qu'elle puisse lui répondre. Un souffle bruyant sors de ses narines. - Ronno. Quel étrange cerf vous êtes. Je ne vous sous-estime pas bien sûr mais je crois que vous devriez arrêtez d'être en colère tout le temps. De réagir méchamment avec les autres. Est-ce parce que le monde a été méchant avec toi ? Ou c'est votre passé ? Elle prit une légère pause puis reprit d'une voix calme et posée. - Puis, surveillez ce que vous dites. Ne saviez-vous donc pas que les nomades sont une harde ? Sans vouloir vous vexez, vous êtes vraiment incultes monsieur.

Effectivement, le grand cerf avait dit que la jeune biche ne savait pas assez vivre pour aller dans une harde. Mais elle EST dans une harde. Le cerf a intérêt à surveiller ses propos et à en apprendre davantage sur la forêt et ses hardes. Seulement ensuite il pourra peut-être revenir. Mais qu'Est-ce qu'elle en sait la biche ? Après tout elle n'est qu'une simple biche face à ce cerf Tyran, qui est un chef. La biche lui adresse un léger sourire, à contrecœur. Elle aime tout le monde et déteste personne. Mais elle n'aime pas qu'on fasse du mal aux autres. Ou les tyran. Comme celui-ci. Elle vas donc tâcher d'essayer de ne pas empirer la situation.